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 |  Sujet: Aussi sombre que ses ruines (PV)  Dim 31 Mai - 22:50 | |
| Tout paraissait si noir ici, le ciel était pourtant si bleu et le sol si vert. C’était bizarre, je me sentais bien et pourtant j’avais toujours l’impression que le danger me guettait. Peut-être n’était-ce qu’une impression. Ca me semblait si indifférent ce nouveau monde. J’y avais vécus maintenant pendant 2 ans, voyagent ou la terre pouvait bien me mener, ou le vent pouvait me guider. M’entrainant sans relâche pour peut-être un jour devenir quelqu’un. J’étais resté discrète pendant ses deux longues années. Je m’étais renseigner aussi sur beaucoup de choses, sur les évènements actuels, les guerres, les gens à connaitre, à ne pas connaitre…Ceux qu’il fallait à tout prix approcher, j’avais voyagé assez longtemps pour voir tout ses villages et tout ses habitants. Première critique ? Des reproches peut-être ? Je me sentais mal pour eux…Pourquoi ? J’avais toujours rêvé de sortir de ce « doux cauchemar » pour me retrouver, dans réalité du « dur cauchemar ». Rien ne changeais vraiment, je souffrais mais en dehors d’autre gens souffrait beaucoup plus que moi. Bien sur, j’avais rencontré des gens, je les avais écouté et je les connaissais, pourtant, je ne pouvais m’empêcher de tomber sur des gens considérablement triste et pauvre, pourtant il ne voulait qu’on ne voit en eux que de la joie. Je n’arrivais pas à saisir se sentiment qui me paraissait si masochiste ou peut-être tout simplement hypocrite envers une vie plus aisée, comme ses gens aux grandes maisons, aux belles fortunes hérité par des parents riches. Neutre et impassible, c’est ainsi que je devais concevoir mon avenir. Je m’etais rapprocher de certaine personne mais sans en pleurer les absences, ni même les adieux. J’avais quitté le monde paysan ou tout semblait aller si bien pour revenir à la dure réalité shinobi et du monde ninja ou tout n’était que flot de sang et de guerre. Aucune autre image ne pouvait me venir en tête, la vie était dure surtout pour quelqu’un comme moi. J’avais réussi à devenir aussi puissante que je l’avais voulut sans pour cela dépassé mes limites, la guerre ne m’intéressait pas, les combats m’importait peu… Moi, j’etais plus observatrice, je m’imprégnais de la souffrance, des joies, des sentiments des gens. Ils pleuraient à mon épaule, je les réconfortais de ma main constamment froide. Je ne comprenais pas toutes ses larmes, touts ses rires, je ne voyais plus rien, je ne voyais que ce qu’il pouvait vraiment voir et le plus souvent c’était un noir profond…si profond que même la plus lumineuse des lumières ne pourrait essayer d’y entrer. Voila ce que j’avais retenu de cette vie bien rude. J’étais spectatrice des pires choses comme des meilleurs. Je ne me considérais pas comme un ange ou quelqu’un qui garde, mais j’espérais avoir fait du bien à ses gens quelques fois perdus. Ma voix toujours si neutre pouvait paraitre indifférente peut-être même froide à ses gens, mais en général ce sont ceux qui accepte. J’allais devoirs changer en entrant dans ce monde de délits et d’injures physique ? J’espérais ne pas avoir à changer mon comportement avec un ninja qui ne connais pas la peur ni même la souffrance tout simplement car cela était impossible. Aucun être humain normal ne pouvait éprouver tant d’indifférence envers le monde entier. Je ne suis pas une exception, je ressens des choses comme tout le monde, mais je n’ais jamais vécus de douloureuse situation, ou peut-être était-je trop inconsciente pour pouvoir éprouver quelques chose. Avais-je au moins conscience du bien ou du mal ? De ce qui devait faire peur ou non. C’était ainsi que j’étais faites, former psychologiquement pour que peu de chose me touche. Je n’avais rien ni personne à protéger, alors pourquoi s’en faire ? Je ne pouvais pas être celle qui attend au seuil de la porte assise sur une chaise, à attendre que quelqu’un entre, revienne, arrive ? Plus personne ne m’attendais et je n’attendais plus personne…
Les marches jamais interrompus, les entrainements jamais récompensé, l’argent jamais dépensé. C’était peut-être ça…être seule, complètement seule…C’était si vide, et le ciel était pourtant si bleu…
Je marche toujours, je m’entraine toujours, je ne gagne plus d’argent, car le travail ne me manque pas. Je marche et continue d’avancer la ou je pourrais, espérant peut-être un jour trouver une vie plus intéressante, une vie qui me laisserais la regarder. Voir des choses intéressantes, peut-être même plus tard pleurer pour quelqu’un.
Je m’arrête, je me retrouve dans un endroit sombre, détruit, je ressens la tristesse, la peur peut-être. Je vois plusieurs ombres, je m’engloutis dans ses ruines sans fin, je vois le ciel qui s’assombris, je comprends que maintenant tout est finis ici…
- Est-ce bien un ancien village, je me demande si il à pu vivre assez longtemps...
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Dernière édition par Yuuyou Kaze le Lun 1 Juin - 14:33, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Aussi sombre que ses ruines (PV) Lun 1 Juin - 22:58 | |
| Loin de sa maison dans Suna, loin de la protection de sa maison, Hietsu se demandait autour des ruines d'Oto, regardant tristement à eux, la colère remplissant son coeur comme il s'est rappelé les ruines de sa maison. Il s'est approché d'eux et a entendu une femme, donc il est monté où la voix était et a vu la source de la voix.
Hietsu Misame:Euuuuh... Salut là! Mon nom est Hietsu Misame!
Hietsu a rapidement changé l'apparence sur son visage à un une apparence heureux
*Est-ce qu'elle est dangereuse ? Serai-je sûr ? Je ne suis pas sûr si Kazekage-Sama sera heureux si je suis blessé.. Mais elle est beau .. je devrais arrêter de penser cette voie! Je peux me défendre! J'ai d'assez bonnes techniques... Le problème est .. je n'ai pas d'armes ou cette sorte de truc.. Patience!* |
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